LES REMÈDES PERDUS D’IX CHEL

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L’ANCIEN ART MAYA DE GUÉRIR LE CORPS ET DE SOIGNER L’ÂME

Chère amie, cher ami,

Puis-je vous emmener en voyage ?

Plus précisément, auprès des anciens Mayas au cœur des forêts du Guatemala et du Bélize.

Lorsque vous tombez sur un docu-télé qui vous parle de la région.

Il est presque toujours question de cités perdues dont les archéologues et les explorateurs s’évertuent encore à percer les secrets.

L’un de mes docu préférés du moment est Les Cités Perdues d’Albert Lin, scientifique et explorateur de National Geographic. 

Avec ses équipes, Albert Lin a découvert que les sites de Tikal au Guatemala et Caracol au Bélize étaient beaucoup plus vastes que ce que les archéologues pensaient .

Mais au-delà des temples et des pyramides de pierre, qu’a bien pu laisser derrière elle la civilisation maya ?

Je fais partie de ces enquêteurs qui redécouvrent que leurs médecines étaient beaucoup plus avancées que ce que nous aurions pu penser.

C’est aussi le cas du Dr. Rosita Arvigo.

DES SECRETS DE GUÉRISON MILLÉNAIRES PERDUS AU COEUR DE LA FORÊT

Nous sommes en 1981, quand le Dr. Rosita Arvigo quitte les États-Unis et déménage avec sa famille au Belize.

Là, au cœur de la jungle, Rosita entend parler d’un vieux guérisseur maya célèbre pour sa capacité à guérir des patients, même dans les cas les plus graves.

Ce guérisseur, c’est Don Elijio Panti, le vieil homme de 86 ans à la droite du Rosita sur cette photo :

Pendant dix ans, le Dr. Rosita Arvigo étudie et apprend auprès de Don Elijio l’art de la guérison traditionnel des Mayas comme :

• Des alternatives aux antidépresseurs et aux analgésiques chimiques contre le mal de dos qui se trouvent probablement dans votre étagère à épices ;

• Des boissons tonifiantes en cas d’anémie (manque de globules rouges) ;

• Des recettes de pommades naturelles anti-démangeaisons contre les piqûres d’insectes ;

• Un automassage contre le syndrome du canal carpien ;

• Des solutions efficaces en cas d’infections urinaires, les gingivites de rages de dents, ou de maux de gorge ;

• Un massage du bassin en cas de problème de prostate : il stimule la circulation sanguine et aide à drainer les liquides qui s’accumulent et provoquent un gonflement ;

• Des remèdes contre la constipation, les diarrhées ou encore en cas de bronchite et la toux chronique, faciles à préparer.

Mais aussi d’autres secrets de guérison spirituelle comme :

• Comment apaiser et soulager l’envie, le chagrin, la tristesse et la peur avec les prières et la cérémonie du cacao maya ;

• Ou bien comment débarrasser votre maison des énergies négatives avec un rituel de nettoyage maya ;

Déterminé à préserver ces savoirs, le Dr. Rosita fonde avec Don Elijio la ferme Ix Chel, en l’honneur de la déesse maya de la guérison. 

Et lorsque finalement Don Elijio s’éteint en février 1996, la fondation Ix Chel Tropical Research avait déjà répertorié une partie des savoirs traditionnels mayas auprès des guérisseurs de la région.

D’autres remèdes viennent alors s’ajouter à la liste comme :

• Le secret de l’arbre à peu des Mayas en cas de brûlures et comme régénérant cellulaire pour la peau ;

• Ou encore la recette du grand Iskiate pour renforcer la santé du coeur ;

C’est tout l’objet de ma prochaine série de lettres gratuites de vous transmettre ces remèdes perdus des médecines d’Ix Chel.

Vous reconnaîtrez ces lettres, car elles comportent ce bandeau exclusif :

IX CHEL : DÉESSE DE LA LUNE ET MAÎTRESSE DES REMÈDES

Les anciens Mayas croyaient en plusieurs dieux, mais en une seule déesse, Ixchel.

Son nom vient de Ix qui signifie dame et de Chel qui veut dire arc-en-ciel.

Pour les Mayas, Ixchel est la déesse de la Lune. 

Dans beaucoup de civilisations, la lune est le symbole de la féminité.

On l’associe à la fertilité de la terre, car ses cycles suivent les temps des semences, des récoltes, de même que les marées.

Ixchel porte aussi l’ambivalence de la bienveillance et de la destruction.

Mais elle est surtout reconnue comme la maîtresse des remèdes, patronne des médecins et des chamanes.

Femme-médecine, elle préside aux accouchements, aux guerriers blessés et aux malades.

Tantôt représentée comme une vieille femme acariâtre et peu avenante. 

Ou bien sous les traits d’une jeune femme aux longs cheveux noirs, dotée d’oreilles et de griffes de jaguar.

Ixchel porte toujours un serpent enroulé autour de sa tête, symbole de médecine que l’on retrouve dans toutes les civilisations à travers les continents.

Dans mon prochain message, je vous emmène à la découverte d’un premier remède perdu d’Ix Chel, célèbre pour avoir sauvé des dizaines de vies lors la plus grosse explosion gazière de l’histoire à Mexico.

En attendant, dites-moi en commentaire quels problèmes de santé ou maladies chroniques vous aimeriez me voir aborder ces prochaines semaines en commentaire en bas de cette page.

Je suis certain que les médecines Mayas ont des solutions concrètes à vous apporter !

Portez-vous bien,

Thibaut Vernier
Rédacteur de la lettre des Médecines Sacrées

Sources :
[1] https://www.nationalgeographic.fr/video/tv/les-cites-perdues-dalbert-lin
[2] https://www.nationalgeographic.fr/sciences/2019/11/comment-la-technologie-lidar-revolutionne-larcheologie
[3] https://www.nationalgeographic.fr/voyage/la-decouverte-de-caracol-cite-maya-longtemps-gardee-secrete
[4] Rainforest Home Remedies: The Maya Way To Heal Your Body and Replenish Your Soul Paperback, Livre de Nadine Epstein et Rosita Arvigo, January 9, 2001
[5] Mary Ellen Miller et Karl A Taube, The gods and symbols of ancient Mexico and the Maya : an illustrated dictionary of Mesoamerican religion, New York, Thames and Hudson, 1993

Crédits :
DO56, CC BY-SA 3.0 <http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0/>, via Wikimedia Commons
La technologie laser connue sous le nom de LiDAR supprime numériquement le couvert forestier pour révéler des ruines anciennes, montrant que les cités mayas telles que Tikal étaient beaucoup plus vastes que ne le suggéraient les recherches au sol. PHOTOGRAPHIE DE WILD BLUE MEDIA, NATIONAL GEOGRAPHIC
Rosita Arvigo and Don Elijio Panti gathering medicinal plants at Ixchel farm in western Belize.
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