L’Artemisia : le remède pour en finir avec le paludisme…
Sommaire :
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… que LES LABORATOIRES pharmaceutiqueS ONT décidé d’enterrer !
Chère amie, cher ami,
La plus grande maladie infectieuse peut être guérie par une simple tisane de plantes.
Pourtant, les laboratoires pharmaceutiques préfèrent vendre un traitement de synthèse qui SOIGNE la maladie, mais ne l’a GUÉRIT PAS.
Cette maladie, c’est le Paludisme (aussi appelé Malaria).
L’infection est causée par un parasite appelé plasmodium essentiellement transmis par la piqûre d’un moustique.
Mais alors que l’épidémie semblait en déclin, les cas repartent à la hausse depuis 2014 comme l’illustre la courbe bleue ci-dessous :
Ces chiffres issus d’un rapport de l’OMS sont absolument effrayants !
Rien que pour vous faire une idée, en 2022, le paludisme :
- a touché un quart de milliards (259 millions) de malades dans le monde ;
- et a tué 608 000 personnes dont 426 000 enfants, essentiellement en Afrique.
Ce rebond brutal cache en réalité une vérité que les chercheurs ont bien comprise :
En l’espace de 15 ans, nous avons assisté à une baisse préoccupante de l’efficacité de l’artémisinine.
Le composant clé des dernières générations de traitements antipaludéens.
Mais pour comprendre ce qui a pu se passer, il faut remonter soixante-dix ans en arrière…
Le paludisme ne tuera plus demain, à moins que…
Entre les années 1950 et 1970, la maladie est endiguée par la très célèbre chloroquine.
Il s’agit d’un antipaludique de synthèse, introduit comme une alternative à la quinine.
Malheureusement dès les années 80, ce médicament de synthèse et ses innombrables dérivés perdent de leur efficacité.
À l’inverse, la quinine, un composé naturel extrait de l’écorce de quinquina depuis 1820, reste efficace en cas de paludisme sévère.
Mais la commercialiser sous cette forme pousserait ces firmes à la ruine.
Car les labos ne peuvent breveter une molécule naturelle seule !
Sous pression, les laboratoires sont forcés de trouver d’autres molécules alternatives.
Pourtant, il faudra attendre le début des années 90 pour que les Chinois proposent aux laboratoires occidentaux d’utiliser… l’artémisinine.
l’Arme secrète de Mao Zedong qui avait déjà gagné sa guerre…
Aussi surprenant que cela puisse paraître, la Chine a découvert sa propre alternative à la chloroquine depuis 1972.
En effet, en pleine guerre du Vietnam, la chercheuse Tu YouYou se voit confier par Mao Zedong la mission de trouver un remède contre le paludisme qui fait des ravages dans les rangs des Viêt-Cong.
C’est le fameux “Projet 523” qui a apporté un soutien crucial aux troupes de la libération en aidant à traiter la maladie et à repousser l’envahisseur américain.
Le plus surprenant, c’est que Tu YouYou et ses équipes ne mettront que 5 ans à résoudre la question en cherchant…. dans les textes anciens de la phytothérapie chinoise !
Après l’étude de centaines d’ouvrages, de 2 000 remèdes traditionnels et le test de 380 extraits…
… Tu YouYou finit par tomber sur la bonne plante : l’Artemisia annua.
Son équipe isole son principe actif, l’artémisinine, qui s’avère capable de prévenir le paludisme et d’en traiter les crises les plus graves.
Et l’artémisinine est si efficace, que le jour où les laboratoires travaillent avec, tout change !
l’Artémisinine, c’est le jackpot pour Big-Pharma !
Dès 2001 l’Organisation mondiale de la santé déclare l’artémisinine comme « le plus grand espoir mondial contre le paludisme ».
Mais comme l’artémisinine est une molécule naturelle, les labos doivent d’abord trouver le moyen de la breveter.
Les chercheurs décident alors de partir de la molécule d’artémisinine…
Puis de la modifier légèrement et de la mélanger à d’anciens médicaments antipaludiques pour obtenir un composé brevetable !
Une nouvelle combinaison thérapeutique à base d’artémisinine est née.
Son nom : ACT (ou Artemisinin-based Combination Therapy)
Une fois déployés, les cas de paludisme reculent partout dans le monde.
Le succès est tel qu’en 2015, Tu YouYou est bombardée Prix Nobel de Médecine pour sa découverte de l’artémisinine et son application dans le traitement du paludisme.
Sauf qu’entre-temps, les parasites à l’origine du paludisme développent une résistance aux combinaisons à base d’artémisinine (les ACT)…
Chloroquine, combinaisons à base d’artémisinine (ACT)… même destin !
À partir de 2008, les chercheurs constatent une résistance aux ACT en Asie du Sud qui se répand ensuite jusqu’en Afrique.
Cela aurait dû marquer la fin des traitements aux ACT.
Sauf que les brevets valables pour 10 à 20 ans ne sont pas encore échus.
Financièrement, il est donc beaucoup plus stratégique pour les labos d’épuiser le filon de l’artémisinine… quitte à vendre un traitement qui deviendra moitié moins efficace !
Pire encore, pour retarder la résistance à l’artémisinine, l’OMS va interdire dès 2012 l’usage de la plante à l’origine du traitement : l’artemisia annua.
Très vite, en Afrique, la situation devient préoccupante :
Car les lobbies font pression pour interdire l’emploi des artemisias locales aux villageois…
… pendant que des champs gigantesques sont cultivés par les laboratoires pharmaceutiques pour extraire l’artémisinine, au bout de leurs jardins !!
Les populations locales sont donc privées d’un remède efficace et n’ont d’autre choix que de se tourner vers les combinaisons aux ACT de moins en moins performantes !
Et cela, la science l’a déjà prouvé depuis longtemps !
La tisane d’artemisia plus puissante que les traitements chimiques !?
En 2006, une première étude démontre que la prise de tisane d’artemisia annua pendant 7 jours est plus efficace que l’association artesunate/amodiaquine (Coarsucam®).
Une combinaison thérapeutique à base d’artémisinine couramment prescrite.
Résultat : 100% de réponse thérapeutique positive contre 85% pour l’ACT !
Mais il manquait une étude de grande ampleur, pour mettre tout le monde d’accord.
Depuis 2018, c’est chose faite !
Grâce au travail acharné de nombreuses associations, un grand essai clinique a été mené sur 1 000 patients impaludés dans la région de Maniema au Congo.
Cette région du Congo très touchée est une zone sentinelle pour l’OMS.
Et cette étude, réalisée en double aveugle, a prouvé que les artemisias Annua (de chine) et Afra (d’afrique) prisent sous forme de tisanes étaient plus efficaces que les ACT de l’industrie pharmaceutique !
Sous artemisias, le taux de guérison était de 99,5 %… contre 79,5 % pour le médicament !
Ces conclusions implacables sont publiées dans la revue Phytomedicine.
L’OMS et les laboratoires pharmaceutiques fous de rage !
Seulement voilà, les conclusions de cette étude sont explosives pour les laboratoires.
Les labos demandent aussitôt sa rétractation qu’ils obtiennent finalement en 2020 après un combat acharné contre les ONG.
Ce qui a particulièrement mis les laboratoires sous pression, c’est que l’étude a révélé que dans la moitié des cas, c’est une artemisia africaine ne contenant pas l’artémisinine qui a été utilisée.
L’étude venait donc de démontrer coup par coup que :
- l’artémisinine présente dans artemisia annua intervient finalement peu dans son efficacité, car la tisane de la plante entière l’emporte sur les ACT ;
- Et qu’une autre plante de la même famille, artemisia afra, avait la même efficacité contre le paludisme… alors même qu’elle ne contient PAS d’artémisinine.
Une belle preuve que la plante artemisia dans son entier (on parle de totum) peut être plus efficace qu’un seul de ses principes actifs !
Mais surtout une démonstration flagrante du peu d’intérêt des médicaments chimiques à base d’artémisinine et de ses dérivés encore commercialisés dans le monde entier.
Cette attitude de mauvais perdant des labos cache une vérité évidente :
Les laboratoires n’ont toujours RIEN compris à l’intelligence des plantes !
Aux laboratoires qui me lisent, je dis ceci :
Vous devez comprendre que la bataille contre le paludisme ne sera pas gagnée tant que vous développerez des traitements synthétiques avec deux substances antipaludiques.
Car les parasites du paludisme, appelés plasmodiums, développent rapidement une résistance contre ces traitements.
Or, dans le cas du totum de l’artemisia, il s’agit ainsi de délivrer d’un coup 400 principes actifs dont une vingtaine au moins serait antipaludique.
Ce qui laisse bien peu de place aux mutations….
D’ailleurs, le remède est toujours aussi efficace après 2 000 ans !
On le sait très bien, c’est répertorié dans plein de grands livres.
Et pas simplement sous forme de tisanes.
Même présenté sous forme d’extraits secs à la dose de 1 g/jour, l’artemisia guérit des paludismes résistants aux thérapies combinées à l’artémisine !
De plus les artemisias annua et afra sont très simples d’utilisation et extrêmement accessibles pour les populations.
Partagez vos avis chers lecteurs :
Pensez-vous que rendre leur autonomie aux populations locales dans l’utilisation de l’artemisia soit la clé pour lutter efficacement contre le paludisme ?
Répondez-moi en commentaire en bas de cette page.
Portez-vous bien,
Thibaut Vernier
Rédacteur de la lettre des Médecines Sacrées
Sources :
[1] https://sante.gouv.fr/soins-et-maladies/maladies/maladies-infectieuses/article/paludisme
[2] World malaria report 2022, 8 December 2022, Global report, https://www.who.int/publications/i/item/9789240064898
[3] https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/paludisme-resistance-parasites-aux-derives-artemisinine-touche-maintenant-afrique
[4] https://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosbiodiv/index.php?pid=decouv_chapC_p3_c1&zoom_id=zoom_c1_4
[5] https://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosbiodiv/index.php?pid=decouv_chapC_p3_c1&zoom_id=zoom_c1_4
[6] https://www.lemonde.fr/planete/article/2005/11/25/une-plante-chinoise-contre-le-paludisme_714282_3244.html
[7] https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/politique-etrangere-de-la-france/diplomatie-scientifique-et-universitaire/veille-scientifique-et-technologique/chine/article/tu-youyou-prix-nobel-de-medecine-2015-pour-ses-travaux-sur-l-artemisinine
[8] https://www.lemonde.fr/planete/article/2005/11/25/une-plante-chinoise-contre-le-paludisme_714282_3244.html
[9] https://www.nobelprize.org/prizes/medicine/2015/tu/facts/
[10] https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/paludisme-resistance-parasites-aux-derives-artemisinine-touche-maintenant-afrique
[11] https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/paludisme-resistance-parasites-aux-derives-artemisinine-touche-maintenant-afrique
[12] “Effectiveness of Non-Pharmaceutical Forms of Artemisia annua L. against malaria” (Who, 2012) https://www.who.int/malaria/publications/atoz/position_statement_herbal_remedy_artemisia_annua_l/en/
[13] “Etude comparative de l’efficacité thérapeutique de l’artesunate seule ou en association avec l’amiodaquine et de la tisane de artemisia annua cultivée à l’ouest du Cameroun”, R.D. Chougouo-Kengne, J. Kouamouo, R. Moyou-Somo, A. Penge On’Okoko, Ann. Pharmacie, vol. 4, N°1, Avril 2012, pp. 127-148, https://malariaworld.org/sites/default/files/rosineannaleskinshasa_0.pdf
[14] Munyangi J, Cornet-Vernet L, Idumbo M et al. Effect of Artemisia annua and Artemisia afra tea infusions on schistosomiasis in a large clinical trial. phytomedicine. 2018 Dec 1;51:233-240. doi: 10.1016/j.phymed.2018.10.014. Epub 2018 Oct 10. PMID: 30466622
[15] https://www.lexpress.fr/sciences-sante/sciences/tisane-d-artemisia-le-combat-de-scientifiques-pour-faire-retracter-deux-etudes_2133157.html
[16] J. Munyangi, L. Cornet-Vernet, M. Idumbo, C. Lu, P. Lutgen, “Artemisia annua and Artemisia afra tea infusions vs. artesunate-amodiaquine (ASAQ) in treating Plasmodium falciparum malaria in a large scale, double blind, randomized clinical trial” ; Phytomedicine : international journal of phytotherapy and phytopharmacology, ISSN: 1618-095X, Vol: 57, Page: 49-56 ; avril 2019
[17] Anamed, action pour la médecine naturelle dans les tropiques https://www.anamed-edition.com/fr/reseau.html
[18] Worcester Polytechnic Institute. “Patients with drug-resistant malaria cured by plant therapy: Tablets made from dried leaves of the Artemisia annua plant cured 18 critically ill patients in a Congo clinic. The results suggest a new and inexpensive treatment option for the mosquito-borne disease that affects 212 million people worldwide.” ScienceDaily. ScienceDaily, 24 April 2017.
Crédits :
©Wasanajai, via AdobeStocks
©Scisetti Alfio, via AdobeStocks
Bonjour, votre article est fort intéressant mais si je puis me permettre un commentaire, pourriez vous s’il vous plait regarder de plus près les travaux d’Andreas Kalcker (son livre: La santé interdite, explique tout) avec le CDS qui est aussi très efficace contre le paludisme (parmi un très grand nombre de maladies). C’est d’ailleurs complètement par hasard et en présence de cas de malaria que l’efficacité du CDS a été trouvée !
Très Cordialement
JP Callens
Bonsoir Jean-Pierre,
Je vous remercie pour votre commentaire et pour avoir partagé cette information. Je vais certainement explorer les travaux d’Andreas Kalcker et son livre “La santé interdite”. Il semble que le CDS puisse également être une solution efficace contre le paludisme, ce qui est très intéressant. Votre contribution est précieuse, et je suis reconnaissant de votre partage.
Bien à vous,
Thibaut Vernier
Je connais ce sujet depuis 4 ans grâce à Lucile Cornet-Vernet, fondatrice de l’association La maison de l’artemisia. Elle a fait un travail fantastique pour faire connaître les bienfaits de cette plante.
Tout ce que vous dites est ce que j’ai entendu dans une large mesure. C’est effrayant de savoir une fois de plus que l’OMS et les grands laboratoires pharmaceutiques sont main dans la main au détriment des populations touchées par cette maladie.
Il me semble que l’institut Pasteur a fini par accepter d’étudier l’Artemisia sous la forme que vous décrivez…
Je n’en connais pas les résultats.
pas de doute restons naturels.
merci pour votre message.
Je suis entièrement d’accord avec vous . Pour s’être déplacés , mon fils et la famille dans ces pays et sur du long terme ,l’Artemisia même en homéopathie est super efficace en préventif en tout cas . Et maintenant en préventif et curatif de maladies graves…. je la prends en tisane en cure de 21 jours . Ca pousse très bien ici !!!!!!
Merci pour tous vos articles .
REMARQUABLE !
Merci !
Comme pour beaucoup de maladies , pourquoi se soigner avec des molécules chimiques quand une, ou plusieurs plantes, peuvent soigner encore mieux, et sans danger ?
C’est donc la phytothérapie qui devrait mise à l’honneur, et les herboristes feraient un travail considérable pour soigner les personnes malades… Qu’attend donc l’OMS pour remettre les plantes à l(‘honneur, telles qu’elles l’étaient auparavant ? d’autant plus que les “patients” seraient beaucoup moins impactés au portefeuille, et la sécurité sociale beaucoup moins grevée par les soins et les consultations…
Bonsoir,
Je comprends votre préoccupation, Béatrice.
La réforme de grandes organisations comme l’OMS peut être un défi, mais il est important de maintenir la pression et de sensibiliser à l’importance des approches naturelles en médecine.
Le changement peut être lent, mais il est possible si suffisamment de personnes partagent cette vision et militent pour un système de santé plus axé sur la phytothérapie et les remèdes naturels.
Bien à vous,
Thibaut Vernier
J’ai eu la malaria en décembre 1999lors de mon séjour au Kenia (malaria tropicale, vivox et ovale). Le type tropical était le plus dominant.
J’avais 41° de fièvre, on m’a fait prendre du Lariam.
Dans l’avion lors du voyage de retour on m’a obligé de prendre une pilule bien que je disais que j’avais déjà prise la dose prescrite.
J’ai été malade pendant plus de six mois. Aucune douleurs, mais de grosses fièvres , des hallucinations, absence mentale, fatigue. un besoin dormir. Quand j’ai repris le travail, je me suis rendue compte qu’il y avait un problème cérébral.
Quand on me parlait, je comprenais le sujet d’une conversation avec un retard de 30 secondes. Mon cerveau travaillait au ralenti et ceci pendant au moins un an.
Au lieu d’aller déjeuner, je devais rentrer chez moi pour dormir. Je ne tenais pas toute une journée au travail…. (Plus de 6 mois après la prise des médicaments)
Je suis certaine que tous ces symptômes sont liés au médicament Lariam.!!
Heureusement, je me suis bien remise, maintenant je souffre encore de toute une série d’effets secondaires suite à la vaccination Pfizer.
Immédiatement après le 2ème vaccin:
– perte mémoire courte
– perte du sens de l’orientation
– dyslexie pendant +- un an (pourtant je suis linguiste)
– problème digestifs graves
– bouffées de chaleur
– acouphènes
– plus de 100 boutons de fièvre durant l’année qui a suivie la 2ème vaccination.
– perte de cheveux en 3 phases (coté droit, puis gauche, puis à l’arrière)
– dérèglement hormonal (jamais eu des problèmes au paravant)
Juste pour confirmer l’effet que les médicaments peuvent avoir sur l’humain.
Les maisons de l’Artemesia, très courageuses recherches et études scientifiques reconnues, menées avec brio par Lucile Cornet Vernet , dentiste chirurgien qui a affronter toutes les menaces avec perspicacité et générosité , présentes aujourd’hui dans 30 pays d’Afrique avec les résultats que vous avez affiché. Tous les patients sont guéris en 7 jours . Vive la nature à bas l’OMS des traitres et financiers
Les maisons de l’Artemesia, très courageuses recherches et études scientifiques reconnues, menée avec brio par Lucile Cornet Vernet , dentiste chirurgien qui a affronter toutes les menaces avec perspicacité , présentes aujourd’hui dans 30 pays d’Afrique avec les résultats que vous avez affiché. Tous les patients sont guéris en 7 jours . Vive la nature a bas l’OMS des traitres
Bonsoir 🌇 je connais très bien lartemisia annua car je me soigne avec cela et très efficace