Acmella : la fleur électrique qui stoppe la douleur…

Chère amie, cher ami,

« Comment allez-vous ? »

Cette question vous a été posée des milliers de fois.

J’imagine que votre réponse s’est souvent résumée à un « très bien, merci, et vous ? ».

Et pourtant… combien d’entre vous se portent vraiment bien ?

• Les statistiques montrent qu’environ un quart d’entre vous sont pris en charge pour une maladie cardio-vasculaire, un risque cardio-vasculaire ou un diabète ;
• 1 homme sur 3 et 1 femme sur 4 risque de développer un cancer ;
• 40 % des femmes souffrent d’ostéoporose après 65 ans ;
• la moitié des hommes ont des problèmes de prostate après 50 ans ;
• Sans parler du nombre incalculable de gens pour lesquels, l’énergie, l’activité sexuelle, la mémoire deviennent chaque jour davantage des choses du passé.

Si, comme bon nombre de mes lecteurs, vous avez ces problèmes, alors il est logique que vous lisiez plusieurs newsletters de santé naturelle.

Une démarche responsable qui vous a probablement amené à essayer divers remèdes, ouvrir de nouveaux horizons…

Mais, malgré vos efforts, il est possible que RIEN n’ait fonctionné sur VOUS.

Si tel est le cas, alors laissez-moi préciser le fond de ma pensée : des solutions existent, mais vous n’êtes pas près d’en entendre parler ! 

Sans attendre, je vous en donne un exemple.

Vous le savez, malgré les progrès de la médecine sur les anti-douleurs, des millions de patients continuent de souffrir.

En 1950, la science redécouvre la “fleur électrique” qui stoppe la douleur…

Cette plante ressemble à une marguerite sans feuilles.

Elle est connue sous le nom de marguerite électrique ou d’herbe-à-dents.

Les peuples des rives de l’Amazonie l’utilisent depuis des siècles pour traiter la douleur dentaire grâce à ses puissantes propriétés antalgiques.

Cette plante, c’est l’Acmella (du nom latin Acmella oleracea L.), mais au Brésil, on l’appelle Jambu.

Les chercheurs qui l’ont “re-découverte” la considèrent comme un SUPER AGENT de lutte contre la douleur.

Plus tard, en 2020, une équipe de chercheurs a isolé 99 études différentes pour comprendre comment la fleur électrique fonctionne.

Ils ont conclu qu’elle contient du spilanthol – présent dans ses fleurs, feuilles et racines – qui s’avère être un anesthésique dentaire très efficace.

En fait, il produit une sensation de bourdonnement local prononcé (d’où le côté “électrique”) avec un effet engourdissant et refroidissant.

Pourtant, malgré la découverte de cette molécule anti-douleur, porteuse d’espoir pour des millions de malades…

… en 2023, les laboratoires pharmaceutiques font comme si elle n’existait pas !

Vous le savez, les plus grandes firmes pharmaceutiques ont appris depuis longtemps que nos forêts tropicales, nos champs et nos jardins abritent de potentiels médicaments.

Malheureusement, une plante peut être utilisée pendant des décennies, des siècles, voire des millénaires avant qu’un groupe ne mette enfin en place la stratégie de trésorerie pour poursuivre son approbation clinique comme médicament.

La raison est simple : développer un médicament prend une décennie et nécessite entre 500 millions et 3 milliards de dollars rien qu’aux Etats-Unis. 

En France, on parle d’une quinzaine d’années.

Malgré cet obstacle, je crois sincèrement que :

• Lorsqu’une plante a fait ses preuves à travers des décennies d’utilisation dans les pratiques médicinales traditionnelles ;
• Et qu’elle est en plus soutenue par des études scientifiques solides.

Vous n’avez PAS à être tenu à l’écart de ces avancées

D’autres forces de la Nature comme cette fleur électrique viennent tout juste d’être validées par des études randomisées en double aveugle contre placebo (le must de la preuve scientifique).

Elles sont efficaces, sûres et disponibles dès aujourd’hui en pharmacie, dans votre magasin Bio ou dans votre herboristerie en ligne.

Et des centaines de lecteurs bien informés profitent déjà de ces solutions pour reprendre en main leur santé.

Je considère qu’il n’y a aucune raison pour que vous soyez tenu à l’écart de ces découvertes majeures.

C’est pourquoi j’ai décidé de créer la catégorie « Forces de la Nature » sur le site des Médecines Sacrées.

Portez-vous bien,

Thibaut Vernier
Rédacteur de la lettre des Médecines Sacrées

P.S. J’aimerais vous poser cette question : « Selon vous, les laboratoires pharmaceutiques exploitent-ils réellement toutes les potentialités de la nature ? ». Répondez-moi en commentaire en bas de page. Je suis sûr que les autres lecteurs apprécieront vos conseils.

Sources :
[1] https://sante.gouv.fr/soins-et-maladies/maladies/maladies-cardiovasculaires/article/maladies-cardiovasculaires
[2] https://www.frm.org/recherches-cancers/cancers-en-chiffres
[3] https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/osteoporose/comprendre-osteoporose#:~:text=L’ost%C3%A9oporose%20est%202%20%C3%A0,cette%20proportion%20monte%20%C3%A0%2070%25
[4] https://sante.lefigaro.fr/article/prostate-quand-s-inquieter/
[5] Rondanelli M, Fossari F, Vecchio V, Braschi V, Riva A, Allegrini P, Petrangolini G, Iannello G, Faliva MA, Peroni G, Nichetti M, Gasparri C, Spadaccini D, Infantino V, Mustafa S, Alalwan T, Perna S. Acmella oleracea for pain management. Fitoterapia. 2020 Jan;140:104419. PMID: 31705952.
[6] Arnaud Soupene. L’intérêt du spilanthol en odontologie. Sciences du Vivant [q-bio]. 2017. ⟨dumas-01812581⟩
[7] https://www.policymed.com/2014/12/a-tough-road-cost-to-develop-one-new-drug-is-26-billion-approval-rate-for-drugs-entering-clinical-de.html
[8] https://sante.gouv.fr/soins-et-maladies/medicaments/le-circuit-du-medicament/article/le-developpement-du-medicament

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